Toutes les pétitions

NON à la prolongation de lautorisation du glyphosate !

Objectif : 310 signatures Par ThierryDeneuve Se termine le 01/12/2024 à 06:32

Le président Macron a fait part il y a quelques jours de "l'importance de préserver la biodiversité et de diminuer le CO2"

Un comble quand on sait que dans le même temps la France votait à la Commission européenne pour ou contre la prolongation de l'utilisation du glyphosate...

Et s'est abstenue !

Après nous avoir promis de sortir du glyphosate de ne pas laisser les agriculteurs sans solution d'accompagner la transformation et de mener ce combat en Europe...

Cette abstention apparaît comme un non à la sortie du glyphosate et l'utilisation de ce produit dangereux pour la santé humaine et l'environnement est prolongée de 10 ans !

Nous devons nous mobiliser et montrer notre désaccord face à cette mesure car le glyphosate est au cur des controverses depuis 2015 !

Et pour cause : cest la date à laquelle lagence de lutte contre le cancer de lOMS a déclaré que cet herbicide était probablement cancérigène.

Pourtant on va de sursis en sursis. De prolongation en prolongation.

Car oui le glyphosate a déjà bénéficié dune autorisation prolongée pendant 5 ans de 2017 à 2022.

Oui le glyphosate a profité dune seconde prolongation pour attendre les évaluations de lEFSA en 2023.

Et oui à la suite de ces évaluations la Commission européenne a voté une nouvelle prolongation jusquen 2033 !

Le glyphosate semble être un parfait exemple des manuvres des lobbies de l'agrochimie et de l'agroalimentaire au détriment de la santé humaine et de la biodiversité.

Les "Monsanto Papers" en 2017 ont révélé les manuvres douteuses pour promouvoir le glyphosate malgré son classement comme "cancérogène probable pour l'homme". Dans ce contexte comment faire confiance à lavis des autorités sanitaires européennes ?

Nous ne pouvons pas nous permettre de laisser les intérêts de l'industrie chimique primer sur notre santé.

Il est urgent que nous fassions pression sur le gouvernement pour dire NON à cette prolongation dutilisation du glyphosate.

Plusieurs éléments peuvent attester des risques potentiels du glyphosate pour la santé humaine et l'environnement.6

La décision devrait être claire : en vertu du principe de précaution inscrit dans la constitution européenne le glyphosate devrait être interdit.

On nous parle de manque de solutions alternatives on nous assure que les producteurs seraient en difficulté quun arrêt du glyphosate nest pas aussi simple à mettre en place que cela

Selon moi les choses sont très simples au contraire.

Plutôt que de se concentrer sur le bien de notre santé les autorités perdent du temps dans des débats stériles.

Pendant quils hésitent les effets toxiques du glyphosate se font de plus en plus importants :

Sur la flore : le glyphosate ferait partie des substances mises en cause dans la disparition de la flore sauvage dans nos zones cultivées. Ces plantes sont pourtant indispensables pour la survie de nombreuses espèces dinsectes y compris pour les pollinisateurs dont nous avons besoin pour nos cultures.8

Sur la faune : les études de toxicité ont démontré que le glyphosate aurait un effet négatif sur la fertilité des rats sur les hormones thyroïdiennes des grenouilles et même quil pourrait provoquer des lésions du foie et des reins chez certaines espèces de poissons ! Et ça ne sarrête pas là ! Mortalités anormales pathologies inhabituelles baisse de la natalité9 Difficile dimaginer quune substance aussi néfaste pour toutes les espèces animales soit inoffensive pour lhomme !

Sur notre milieu : on a retrouvé du glyphosate absolument partout. Lair10 leau et les sols même non traités contiendraient des traces de glyphosate11. Le désherbant ne serait donc pas aussi facilement dégradé quon voudrait nous le faire croire !

Sur nous-mêmes : une étude de 2022 a montré que lherbicide laisserait des traces chez les français. En effet 99% de la population française présenterait des niveaux quantifiables de glyphosate dans les urines échantillon de 6848 personnes issues de 83 départements différents !

Plus grave encore en raison de sa présence dans le sol le glyphosate affecterait les plantes cultivées pourtant non ciblées par le traitement.

Celles-ci auraient ainsi du mal à absorber les nutriments présents dans le sol seraient moins résistantes aux maladies et donc nécessiteraient encore plus de pesticides et dengrais chimiques !

Lheure nest plus aux suspicions et aux études : nous connaissons clairement les risques pour les espèces humaines animales et végétales exposées au glyphosate.

Il est temps de passer à laction afin de bâtir un avenir meilleur pour nos enfants.

Largent et la puissance des lobbies de lindustrie chimique ne devraient pas peser dans la balance quand il est question de lenvironnement et de notre santé.

Nous demandons à nos représentants :

De faire entendre notre voix et de se prononcer en faveur dune sortie du glyphosate.

De tenir compte des questions environnementales et de la biodiversité dans la prise de décision.

La mise en place d'un calendrier de suppression du glyphosate immuable sans plus aucun report pour que l'interdiction prenne place courant 2024.

Pour votre santé pour nos enfants pour notre sol pour notre terre commune... Agissons ensemble signez la pétition et mettons un terme à lutilisation du glyphosate dans nos campagnes.

NON aux méga bassines : protégeons l'accès à l'eau pour tous

Objectif : 7488 signatures Par Fabrice Goudron Se termine le 01/12/2024 à 09:24

Le 25 mars 2023 la manifestation à Sainte-Soline faisait réaliser à la France entière un scandale depuis trop longtemps passé sous silence.

Lagro-industrie soutenue par les pouvoirs publics a trouvé le moyen de privatiser nos ressources en eau.

Comment ? Grâce aux méga-bassines des réservoirs géants imperméables qui contribuent à épuiser nos nappes phréatiques !

Si leur construction a bien lieu elles risquent : de mettre en difficulté les petites exploitations dont les ressources en eau seront détournées de menacer laccès à leau potable pour les habitants des régions concernées

de fragiliser nos écosystèmes déjà mis à rude épreuve par les sécheresses.

PERDRE nos ressources en eau potable : méthode en 3 leçons Les défenseurs des méga-bassines avancent quils pourront grâce à elles limiter les prélèvements dans les nappes phréatiques en été notamment en captant leau de ruissellement toute lannée. Une belle idée Mais complètement déconnectée de la réalité ! Dabord parce que leau de ruissellement ne représente quune toute petite partie des ressources permettant de remplir ces bassins. Lessentiel viendra bien de nos sources deaux souterraines Mais elles seront extraites en hiver sans aucune restriction ! De fait les études montrent que la présence de méga-bassines a plutôt tendance à augmenter lexploitation des ressources en eau de 2 à 35 millions de mètres cubes supplémentaires par anen moyenne ! Or si cet hiver nous a appris quelque chose sur nos ressources cest que nous ne sommes désormais plus à labri de sécheresses hivernales. Nous navons aucune garantie que nos nappes phréatiques puissent se remplir dannée en année. Encore moins quelles puissent remplir ces bassines géantes qui seraient donc tout simplement construites pour rien ! Ensuite parce quà lair libre leau sévapore. Il ny a pas besoin de diplôme dingénieur pour comprendre cela. Vous vous êtes forcément rendu compte que votre linge sèche plus vite lorsquil est exposé à lair libre en particulier en plein soleil. Dautant plus si vos vêtements sont foncés. Avec ces mégabassines nous créons de grandes zones exposées en plein soleil pour y stocker de leau sur une bâche plastique de couleur foncée. Ces bassines vont devenir de véritables cuves chauffantes dès le retour du beau temps accélérant ainsi lévaporation de leau. Cela signifie que leau prélevée en hiver ne sera pas entièrement disponible pour arroser les cultures contrairement à ce quon tente de vous faire croire... Mais surtout que nous risquons de perdre des centaines de mètres cubes deau par an ! Des ressources qui auraient pu être conservées si elles avaient été naturellement contenues dans nos sols ! Enfin parce que leau prélevée ne profitera pas aux locaux

Prenons le cas des méga-bassines de la Vienne : la Chambre agricole du département sest elle-même prononcée CONTRE ce projet. La raison ? Seuls 150 des 2300 exploitants vont pouvoir utiliser leau contenue dans ces réserves Ils sen serviront majoritairement pour arroser des cultures de maïs destinées à lexportation. Les habitants nen verront tout simplement pas la couleur pas même dans leurs aliments cultivés ! Et si vous pensez quils se verront offrir un accès à ces bassins en cas de pénurie deau courante détrompez-vous ! Les eaux stagnantes comme celles-ci deviennent non potables à cause des bactéries qui y prolifèrent. Elles ne pourront donc jamais remplacer votre eau du robinet en cas de sécheresse ! En bref la construction de ces méga-bassines constitue un non-sens écologique ET humain. Une situation inadmissible quand on sait comment ces bassines géantes sont financées ! Au profit dune minorité dexploitants MAIS payé par tous les Français Car oui outre la question de la quantité des ressources disponibles se joue aussi un scandale économique. Ces projets ne sont absolument pas rentables et cest donc lEtat qui les finance à hauteur de 70%. On parle tout de même d17 millions deuros pour les bassines des Deux-Sèvres Payés grâce à nos factures deau ! À lheure o nous peinons à remplir nos caddies et à payer nos factures ne trouvez-vous pas aberrant que le gouvernement utilise notre argent pour financer de tels projets Qui ne vont bénéficier quà 6% des agriculteurs de la région leur permettant de prélever ENCORE PLUS deau en toute impunité ? Qui vont servir à arroser des cultures de maïs non pas destinées à NOUS nourrir mais à être exportés à des centaines voire des milliers de kilomètres ? Qui risquent de mettre en péril les maraîchers bio les petits exploitants locaux dont leau sera détournée pour remplir cette cuve ? Qui vont assurément réduire les quantités deau potable disponibles dans les nappes ? Malgré nous nous sommes en train de payer des structures qui pourraient restreindre notre propre accès à leau potable si les sécheresses se multiplient ! Pendant quils préparent la guerre nous défendons la PAIX de leau ! Il y a quelques années encore lidée que nous devions nous battre pour un libre accès à leau ici en France paraissait totalement irréaliste. Cétait avant les manifestations à Sainte-Soline. Avant les dizaines de fractures ouvertes et les 3 blessés en urgence vitale Aujourdhui nous savons que la privatisation de nos ressources en eau par et pour une petite minorité risque de mener à des scènes dune violence terrible. Et le seul moyen dêtre sûr que nous nen arrivions plus jamais à ça cest de se prononcer contre la construction de méga-bassines ! Jai rédigé une pétition adressée à nos dirigeants pour garantir une utilisation responsable et durable de nos ressources en eau. Concrètement nous demandonsPour les nouveaux projets : Labandon pur et simple des 37 projets de méga-bassines déjà validées dans les Deux-Sèvres 7 bassines et dans la Vienne 30 bassines. Une limitation du nombre ET de la taille maximum de nouvelles bassines par région sappuyant sur des études sérieuses et prenant en compte les conditions climatiques actuelles

Pour les bassines déjà en place : Linterdiction de prélever en-dessous du seuil de débordement de la nappe phréatique. La mise en place de dispositifs permettant de limiter lévaporation et donc la perte de leau des bassines ainsi que la stagnation de leau qui la rend impropre à la consommation!! Un accès équitable et raisonné pour TOUS les exploitants agricoles avec en cas de sécheresse critique une priorité donnée aux cultures destinées à une commercialisation locale.

Je vois déjà les défenseurs des méga-bassines crier au scandale. Ils diront que ces mesures sont irréalistes : trop drastiques trop sévères Je vais être claire : ces mesures ne sont que le strict nécessaire. Sans elles et en prenant en compte les sécheresses de plus en plus nombreuses il sera bientôt impossible de garantir un accès à leau pour tous. Qui seront les premiers à perdre leur droit à leau ? Nos écosystèmes en péril ? Les paysans qui nous nourrissent ? Nous ? Aucune de ces réponses nest acceptable. Cest pour cela que nous devons à tout prix réagir maintenant et stopper ces projets démesurés.

Vous aussi faites entendre votre voix : signez la pétition !

Paysans et citoyens : unissons nos forces pour garantir un libre accès à leau pour tous !

Au vu de la crise financière qui approche à grands pas il est temps de changer de paradigme

Objectif : 8822 signatures Par Thierry Deneuve Se termine le 01/12/2024 à 15:34

Face à la crise financière mondiale : un grand emprunt national et une nouvelle fiscalité basée sur l'impôt progressif du patrimoine passif IPP devient inéluctable.

Dans un billet récemment paru sur son blog Jacques Attali annonce pour cet été la grande impasse monétaire et économique que nous avions prévue depuis 2017. Voir ici .:

https://comitebastille.org/le-syndrome-du-titanic-2/

En 2016 déjà avec Gareth Jenkins du Tax Justice Network nous avions comparé nos prévisions avec les leurs. Nous disions alors que cette situation surviendrait entre 2022 et 2024. Eux pensaient plutôt en 2022. Cet évènement est inévitable. Comme nous Jacques Attali prévoit que l'impasse en question commencera aux États- Unis avant l'UE ce qui est assez évident. Nous ajoutons que la France ne sera pas la première atteinte le Royaume- Uni le sera avant. Cependant la chute du premier de cordée va malheureusement entraîner l'Europe et le reste du monde suivra très certainement. La parade que nous proposons est la suivante : Lancer sans plus attendre le Projet IPP Impôt sur le Patrimoine Passif des Personnes Physiques Le Projet IPP du Comité Bastille abolit l'IR en dix ans le remplaçant par un Impôt Progressif sur le Patrimoine Dormant ou Passif des seules personnes physiques. L'Entreprise ne paye plus d'impôts c'est son actionnaire qui en paye à sa place mais y retrouve son compte.

Tel que décrit sur notre site .:

https://comitebastille.org/les-cinq-principales-etapes-du-projet-ipp-contre-la-financiarisation-mondialisee/

En plus de cette imposition l'État lancera un grand emprunt obligatoire auprès des 350 000 Français personnes physiques assez riches pour cela. Cette tranche de la population française paye déjà l'IFI qui sera remplacé par l'IPP. Il sera exigé une mise à jour de toutes les déclarations de patrimoine et des charges les réduisant - les bilans personnels de ces contribuables - avec amnistie pour les déclarations spontanées sans erreurs importantes.

On insistera pour que ces personnes déclarent spontanément les actifs qu'elles possèdent dans des paradis fiscaux dissimulés par le truchement de trusts LLCs et autres sociétés écrans garantissant l'anonymat. Avantage général : l'emprunteur étant l'État lui-même ils bénéficieront de sécurités les protégeant de l?inflation qui va s'amplifier. L'objectif pourrait être de 2 000 milliards d'euros en plusieurs tranches. Le volume de cet emprunt permettra de rembourser les emprunts à l'étranger les plus nocifs dans la dette française.

Rappelons que la fortune des Français est de l'ordre de 15 000 milliards d'euros dont 4 000 milliards environ d'actifs financiers dont une bonne partie va commencer à chuter. Le message sera donc de mettre rapidement leurs avoirs à l'abri grâce au grand emprunt national.

La France prenant l?initiative de cet emprunt elle frappera un grand coup. Ce sera le moment d'appeler une conférence internationale pour en finir avec le privilège exorbitant du Dollar US donc pour un nouveau Bretton Woods. Cette fois les États-Unis pourront difficilement refuser et l?Allemagne devrait nous soutenir.

Rappelons que le cours de l'or a franchi le 3 avril la barre psychologique de 2 000 USD l'once. Elle était autour de 1 400 USD jusqu'à 2019 et s?était maintenue vers 1 800 USD depuis le Covid.

Signons et faisons signer cette pétition pour que les décideurs s'engagent rapidement dans la voie de la

raison !

André Teissier du Cros président de la Fondation AEQUITAE

Le Comité Bastille en action ! ?

Signataires :

André Teissier du Cros

Michel Duhamel

Hubert Coste

Jean Rapenne

Fabien Verdier

Michel Meunier

Rémi Demersseman

Yann Teissier du Cros

Nicolas Jouve

Jean Michel Quintric

Antoine Vaccaro

Victor Ferreira

Thierry Deneuve

Stopper la maladie de Charcot et les autres maladies neurodégénératives

Objectif : 14541 signatures Par Webdevoo Se termine le 01/12/2024 à 18:09

Le 23 décembre dernier le président américain Joe Biden signait un projet de loi inédit dans le but d?accélérer la recherche de nouveaux traitements contre la maladie de Charcot aussi appelée SLA Sclérose Latérale Amyotrophique.

La SLA un peu plus médiatisée grâce à l?astrophysicien Stephen Hawking qui en était aussi atteint est une maladie qui affecte les cellules motrices du cerveau et de la moelle épinière appelées motoneurones. Elle est caractérisées par des paralysies progressives qui touchent les fonctions de la marche de l?élocution de la déglutition et de la respiration. La durée de survie des patients est en moyenne proche de 3 ans après le diagnostic. Même si l?âge médian est proche de 65 ans beaucoup de jeunes patients sont touchés et le nombre de cas de patients suivis ne cesse d?augmenter depuis ces vingt dernières années. Le seul traitement actuellement autorisé en France n?a qu?un effet très partiel sur l?évolution.

Économiquement entre l?aide humaine technique et thérapeutique un patient atteint de la SLA à un stade avancé coûte entre 150 000 et 200 000 par an. Nous sommes environ 6 000 malades en France et 1 600 nouveaux cas chaque année. La SLA se glisse donc au rang de troisième maladie neurodégénérative la plus fréquente avec un coût moyen annuel de plus d?un milliard d?euros rien qu?en France ! Et pourtant cela ne suffit pas. La recherche thérapeutique coûte très cher. Les patients du fait de leur durée de survie limitée ont une chance faible de participer à un essai thérapeutique. Pour améliorer l?accès à des traitements nous demandons un engagement fort des politiques pour soutenir les actions en faveur de la recherche.

Les États-Unis nous ont montré le chemin à suivre. À notre tour aujourd?hui de nous unir autour d?un projet de loi dans le but de mettre rapidement un point final à cette maladie :

1- Le volet Recherche :

- Faciliter les Autorisations d?Accès Compassionnels AAC aux traitements expérimentaux pour les malades n?étant pas éligibles aux essais thérapeutiques. Donner les moyens financiers et humains aux centres SLA et à la FilSLAN pour traiter les demandes des patients et en assurer le suivi.

- Développer un programme reposant sur l?IA permettant de compiler des masses importantes de données concernant les patients comme les fichiers PULSE MINE Tricals EUcalls mais également toutes les recherches à travers le monde afin d?en faire ressortir de nouvelles thérapies.

- Augmenter considérablement les fonds alloués à la recherche dans la prévention et le traitement de la SLA notamment sur des thématiques comme la flore intestinale l?autophagie ou encore la thérapie génique qui sont également des pistes encourageantes pour d?autres maladies neurodégénératives comme Alzheimer.

2- Le volet Social

- Autoriser l?accès à la PCH pour tous les malades de la SLA sans condition d?âge et par conséquent inclure ceux développant la maladie au-delà des 60 ans.

- Améliorer l?information pour les nouveaux patients atteints concernant le parcours de soins l?accès aux aides sociales la possibilité de participer à des essais thérapeutiques etc.

- Améliorer l?accès aux soins essentiels notamment pour les patients trachéotomisés et/ou s?alimentant par gastrostomie : proposer un forfait journalier pour les soins infirmiers et élargir le champ de compétences des auxiliaires de vie tout en les valorisant via une formation continue dédiée à la SLA et une revalorisation de leurs salaires en conséquence notamment via le montant de la PCH en emploi direct.

Comme vous l?aurez compris un tel projet de loi pourrait servir de tremplin et s?étendre ainsi à d?autres maladies neurodégénératives.

Luttons ensemble ! Signez et partagez cette pétition pour qu?elle puisse entrer dans le débat actuel et profitons de la présidence fran?aise à la tête de l?Europe pour en faire bénéficier tous nos voisins.

BIODIVERSITÉ EN VOIE DE DISPARITION

Objectif : Bravo, l'objectif est atteint ! Vous pouvez toujours contribuer en signant cette pétition. signatures Par Thierry Deneuve Se termine le 01/12/2024 à 10:07

Ces espèces qui disparaissent 69 % Entre 1970 et 2018 la taille moyenne des populations de vertébrés sauvages a décliné de 69 %.

Les chiffres sont là accablants. Selon l'IPV Indice Planète Vivante entre 1970 et 2018 la taille moyenne des populations de vertébrés sauvages a décliné de 69 %. Autrement dit en moins d'un demi-siècle les effectifs de plus de 32 000 populations de mammifères d'oiseaux d'amphibiens de reptiles et de poissons ont chuté des deux tiers.

C'est en Amérique Latine que les populations d'espèces sauvages connaissent le déclin le plus effrayant 94 %. L'état des populations d'espèces d'eau douce demeure le plus alarmant avec une baisse de 83 %. Mais aucune région du monde n'est épargnée.

Dans le parc national de Kahuzi-Biega en République démocratique du Congo le nombre de gorilles des plaines orientales a par exemple baissé de 80 %. 50% des coraux d'eau chaude ont déjà disparu il s'agit là du déclin le plus rapide. En trois décennies à peine le nombre d'éléphants de forêt africains a chuté de plus de 86%. Les populations de requins et de raies océaniques ont elles diminué de 71 % au cours des 50 dernières années. La tortue luth plus grand reptile marin vivant se raréfie avec une baisse de 60 % de ses effectifs en Atlantique Nord-Ouest. Selon la Liste Rouge des espèces menacées les populations de rainette verte sont en diminution en France depuis plusieurs années. On ne dispose pas de statistiques suffisamment précises. Cependant depuis 1960 plus de la moitié de la surface des zones humides son habitat naturel du territoire métropolitain a disparu ce qui laisse présager de son déclin.

Partout dans le monde les effectifs d'espèces emblématiques aussi précieuses qu'indispensables à l'équilibre de nos écosystèmes sont en chute libre.

Signons la pétition vite avant qu'il ne soit trop tard

2 suicides par jour STOP ! Non à lagribashing ! Pétition en soutien à la contestation des agriculteurs

Objectif : 289 signatures Par ThierryDeneuve Se termine le 01/12/2024 à 04:55

Monsieur le Président de la République

Chaque jour en France deux agriculteurs décident den finir. Alors aujourdhui la branche se mobilise pour sa survie.

Nous citoyens français signataires de la présente pétition souhaitons exprimer notre soutien aux agriculteurs français.

L'agriculture française est un secteur essentiel de notre économie. Elle assure notre sécurité alimentaire contribue à la préservation de l'environnement et crée des emplois locaux.

Cependant l'agriculture française est attaquée de toute part.

Harcèlement législatif concurrence internationale dumping réglementations à outrance répression à tout-va taxation et hausse des coûts de production.

Il est temps de dire STOP ! à lattaque organisée et systématique des agriculteurs.

Nous demandons donc au gouvernement de prendre les mesures suivantes :

Assurer une rémunération juste et équitable aux agriculteurs afin qu'ils puissent vivre de leur travail et investir dans leur exploitation. Selon l'Insee les revenus ont baissé de 40% en 30 ans. Et un agriculteur sur cinq vit sous le seuil de pauvreté.

Non à la taxation du GNR carburant indispensable aux agriculteurs. Cest une nouvelle punition fiscale sur leur outil de travail.

Stop à la sur-réglementation. Au nom de la transition écologique et du green deal on assassine la production agricole française. Par exemple les paysans doivent augmenter en 2024 de 4% la surface des jachères. Il faut absolument simplifier les normes environnementales.

Non à lagribashing ! La stigmatisation dont sont victimes les agriculteurs est inacceptable et indigne. On les traite de pollueurs car ils utilisent des produits indispensables pour soigner leurs plantes ou parce quils épandent des engrais dans leurs champs. Ils sont harcelés par des activistes qui les accusent de maltraiter les animaux. Pourtant ils travaillent déjà avec des normes parmi les plus stricts au monde en matière de bien-être animal.

Les agriculteurs ne sont pas des délinquants ! Nous disons STOP ! au harcèlement répressif des agriculteurs. La police environnementale de l'OFB - une police armée ! - peut débarquer nimporte quand chez les paysans sans demander dautorisation.

Les agriculteurs ne comptent pas leurs heures et nourrissent la nation. Il est temps de reconnaître leur rôle à sa juste valeur.

Il est aussi impératif de garantir l'avenir de l'agriculture française et de préserver notre souveraineté alimentaire.

Sans ça cest la France entière qui sera sacrifiée tôt ou tard.

Energie : à Bruxelles la bataille sur le nucléaire se poursuit

Objectif : 8503 signatures Par Fabrice Goudron Se termine le 01/12/2024 à 18:36

En marge dun Conseil réunissant les ministres européens de lEnergie mardi 28 mars la question du nucléaire en tant quénergie de transition a divisé les Vingt-Sept. Elle risque de refaire surface lors des discussions concernant la directive sur les énergies renouvelables dès ce mercredi.

Après avoir hanté le sommet de l'UE la semaine dernière l'opposition entre Etats membres partisans ou détracteurs du nucléaire complique les négociations sur plusieurs textes-clé pour le climat Lors d'une réunion sous haute tension qui s'est tenue mardi 28 mars à Bruxelles les ministres européens de l'Energie ont négocié plusieurs législations visant à atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050 dans l'UE.

Les négociations ont coincé sur un point précis : celui de l'hydrogène bas carbone L'Usine Nouvelle c'est-à-dire produit avec de l'électricité issue du nucléaire La question autour de l'utilisation de l'atome hautement polémique a troublé les débats toute la journée du mardi font savoir Les Echos.

Signons la pétition pour dire au nucléaire bas carbone

L'État refuse d'interdire le chalutage de fond. dans les aires marines protégées

Objectif : 8595 signatures Par ThierryDeneuve Se termine le 01/12/2024 à 21:11

Interdire le chalutage de fond dans les aires marines protégées ? La mesure proposée fin février par la Commission européenne semble relever du bon sens. Mais pour le gouvernement français c?est non. Je le dis très clairement ? La France et le gouvernement sont totalement opposés à la mise en uvre de l?interdiction des engins de fond dans les aires marines protégées ? a annoncé avec véhémence le secrétaire d?État chargé de la Mer Hervé Berville le mercredi 8 mars.

Le chalutage de fond consiste à racler le plancher océanique avec de lourds engins tractés. Peu sélective très énergivore c?est l?une des techniques de pêche les plus destructrices. Selon Hervé Berville l?interdire au sein des aires marines protégées serait une folie pour la souveraineté alimentaire de notre pays ? et méconnaîtrait les efforts faits depuis des années par les pêcheurs ? pour reconstituer les stocks.

Ce cynisme anti-écologique est grave ?

Sur Twitter la fondatrice de l?association Bloom Claire Nouvian a dénoncé ce qui constitue selon elle la déclaration la plus anti-écologique ? de 2023. S?obstiner sur la voie de la lâcheté et du cynisme anti-écologique est grave et totalement irresponsable ? a-t-elle écrit.

Cette prise de position constitue selon elle une énième preuve de l?hypocrisie du gouvernement en ce qui concerne les aires marines protégées. Celles-ci n?en ont bien souvent que le nom : 47 de la pêche industrielle a lieu dans des zones supposément protégées montre un récent rapport de Bloom. Alors que les aires marines protégées occupent officiellement 435 de la zone économique exclusive de France métropolitaine seulement 003 de sa surface bénéficie d?une protection stricte ? c?est-à-dire sans aucune pêche selon une étude de 2021. Le consensus scientifique est pourtant clair : seules les aires marines préservées des activités industrielles ont des effets réellement bénéfiques pour la biodiversité et le climat.

Aidez nous à demander au gouvernement d?interdire cette pratique signons la pétition